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MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



A droite j'ai placé une
TABLE DES
MATIÈRES, elle vous permet de choisir des thèmes à visiter selon vos préférences.


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vendredi 26 avril 2013

BIEN ET MAL



Parfois au moment de saturation dans les secondes où l’on sent qu’il en est assez, qu’on ne pourra plus allez au-delà et qu’il va falloir gémir le mot magique. Cet espace temps de doute en bascule entre deux raisons, les « tic tac » qui s’allongent, la douleur qui règne en maître et qu’il faut rapidement détrôner. Juste là quand l’abandon ouvre les yeux, au début insignifiant, puis remontant les tripes en diffusant un lent courant de plus en plus intense au bas du ventre. Une étrange alchimie que nul grimoire ne mentionne, un mélange d’eau et de feu qui se lient pour être complice et engendrer un puissant désir que plus rien ne vient stopper ni troubler. L’excitation qui prend le sexe et l’esprit, l’excitation qui signe le divin mariage entre douleur et volupté. Une vague musclée d’énergie qui submerge et immerge le corps dans un alcool délicieux, l’emportant dans la folle ivresse vers la plage incendiée de lumière.
La jouissance explose comme une délivrance, comme une récompense… Et tout devient autre, tout disparaît, on est en l’instant seul avec son plaisir.




N'est-ce pas non plus une gratification pour la fesseuse de conduire son partenaire à la jouissance ?




4 commentaires:

  1. J'aime bien la description de l'orgasme dans la douleur... Même si cela ne m'arrive jamais moi :-(
    Mais j'imagine que le ou la fesseuse (fesseur) doit aimer aussi!

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    1. Il est vrai que cet instant magique ne naît pas à tous les coups. Je ne dirais pas qu'il est rare mais plutôt peu fréquent (du moins chez moi) car il y a tellement de chose à mettre en harmonie que c'est une cuisine compliquée et fragile.

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  2. Je n'appellerais pas sa une gratification !
    mais cette question ne me semble pas très sensée.

    bien évidemment ça dépends du moment mais c'est bien le but, donner du plaisir et parvenir à la jouissance. Pourquoi cela serait-il différent pour un fesseur et pour une fesseuse ?

    techniquement, il est vrai que c'est plus difficile pour un homme de jouir sous la fessée. pour une femme, l'afflux de sang, le rythme, la sensualité mélée à sa propre perception de la fessée concourent à l'orgasme
    pour un homme, la douleur peut faire débander (ou pas) et donc la jouissance serait ainsi plus difficile.

    faire jouir son (sa partenaire) n'est pas une question sexuée, je veux dire que cela ne dépend pas du sexe. il y a des fesseuses qui fesse des femmes, des fesseurs qui fessent des hommes. s'ils ne prennent pas de plaisir à ça et au plaisir de leur partenaire...

    en tout cas, en ce qui me concerne, c'est essentiellement pour faire jouir mon partenaire que je pourrais le fesser !
    bon... pour le punir un peu aussi, parfois. j'avoue... enfin, un peu, beaucoup.

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    1. Je ne peux vous contredire s'agissant de l'orgasme des femmes et vous avez encore raison sur celui des hommes. J'ai dit "gratification" parce que, à part que la fesseuse et le fesseur peuvent également jouir de la fessée qu'ils administrent, ils peuvent aussi tirer satisfaction d'avoir conduit la ou le partenaire à jouir de la recevoir.
      Chacune et chacun y mets ces petits ingrédients d'amour, de complicité, d'émotions, de sentiments etc. Et chacune et chacun en aura sa propre finalité en ayant d'abord partagé le moment.

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